WHO’S ART(H)ÜR ?
Derrière ce nom à vocation de symbole et simple à retenir se trouve Yves Guignard, docteur en histoire de l’art de l’Université de Lausanne, basé à Neuchâtel, Suisse.
Art(h)ür, c’est un jeu de mot autour de l’art, certes, mais également d’une porte (en allemand Tür) qu’il s’agirait de pousser. Deux parenthèses comme des portes qui s’ouvrent sur un H aspiré, une lettre insonore, un souffle, une inspiration. Tout commence par là, de toute manière.
Suite à l’écriture d’une thèse sur le collectionneur et marchand d’art Wilhelm Uhde (1874-1947), j’ai acquis une certaine expertise du marché de l’art européen de la première moitié du XXe siècle.
Depuis une quinzaine d’année guide conférencier à la Fondation Beyeler (Riehen/Basel), j’ai eu l’occasion de me confronter aux principaux artistes modernes qui furent actifs entre le XIXe siècle et aujourd’hui.
Pour des collectionneurs privés, au premier rang desquels la famille du peintre Balthus, j’ai réalisé ces dernière années des banques de données pour naviguer dans des archives ou des collections d’art.
Ce site a pour but de donner quelques aperçus de mes travaux.

Le Quotidien Jurassien du 11 décembre 2021
Article paru dans le Quotidien Jurassien du 11 décembre 2021
Art numérique et NFT: un mariage de raison


Rassembler ses données, c’est connaître et valoriser son patrimoine
La gestion d’un fonds d’archives ou d’une collection d’art passe d’abord par une conservation raisonnée des documents originaux ou des oeuvres, de manière à ce qu’ils n’aient pas à souffrir des ravages du temps ou d’un mauvais climat. Ensuite, il faut pouvoir accéder à ces données en tout temps et facilement. Qui est l’artiste ? Combien mesure tel tableau ? A-t-on une reproduction HD ? Le certificat d’authenticité ? Toutes ces questions trouvent leur réponses en quelques clics grâce à une base de données intelligente et bien tenue. Dans le cas d’un fonds d’archives, la recherche dans toutes les bases documentaires permet de tisser des liens surprenant entre des documents.